Pour regarder les choses en face,
accepter et reconnaître son mal être.
De multiples personnes vont chercher un palliatif
[alcool, drogue, au choix..],
pour rester dans le déni et s'accrocher
à une bouée -très virtuelle- de sauvetage !
Dépression. Exit. Pour sortir du déni. |
Les pratiques compulsives -jeux, achats, consommation
de médicaments-vont permettre d'oublier
-un temps-
la fameuse fêlure que décrit F.S. Fitzgerald,
en plein chaos, dans une oeuvre autobiographique.
Ainsi ces personnes sentent que quelque chose ne fonctionne
pas ou plus, mais se refusent à reconnaître l'existence
et la pérennité de ce mal être,
et donc de la dépression.
Et refuse ainsi ce précieux message,
que tente de nous envoyer notre tête et notre corps,
afin d'arrêter de nous mentir sur une situation,
qui ne nous convient pas ou plus.
Il est important alors d'écouter ce message
-très personnel-
qui nous est adressé afin de prendre le temps
de ré-évaluer sa vie.
Ne pas écouter et travailler sur le sens de sa douleur, de sa dépression,
reviendrait alors, à ne pas ouvrir une lettre que
nous nous adressons personnellement...
Bérénice Luboz café psycho Lyon 'Dépression ou simple déprime'
psychothérapie en analyse psycho-organique
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire